ZFE 2025 : « Une zone à forte emmerde » de pauvres ?
Le 1er janvier 2025 marquait un tournant pour les Zones à Faibles Émissions (ZFE), ces zones où la circulation des véhicules les plus anciens était censée être restreinte.
En théorie, une quarantaine de métropoles étaient concernées, mais en réalité, chaque ville a pris son propre rythme, ajustant les règles et définissant des dérogations spécifiques en fonction des besoins locaux.
Pour beaucoup de propriétaires de véhicules anciens, la question est claire : comment vont-ils pouvoir circuler ?Mais la situation est loin d’être aussi simple.
Tandis que certaines agglomérations appliquent déjà des restrictions strictes, d’autres ont assoupli les mesures face à la pression des automobilistes et des réalités locales.
Si votre voiture ne répond plus aux critères exigés, Delivauto vous offre une solution simple, rapide et efficace, nous rachetons votre voiture d’occasion, même accidentée, en panne, HS avec ou sans contrôle technique.
Mieux vaut anticiper plutôt que de voir la valeur de votre véhicule fondre sous l’effet des nouvelles contraintes.
Dans ce blog, on fait le point sur ce qui change vraiment et comment ces nouvelles règles peuvent impacter votre quotidien.
Si vous êtes concerné, Delivauto est là pour vous accompagner et vous aider à tourner la page, sans prise de tête, délivrez-vous ! EN ROUTE !
Les ZFE, c’est quoi ? Rien ne vaut un exemple pratique.⬇️
Regardez ce reportage : c’est édifiant ! ⤵️
Comme tant d’autres, ce Français depuis aujourd’hui ne peut plus utiliser sa voiture !
Car ce 1er janvier 2025, multiplication partout en France des idiotes #ZFE, application de la Loi Climat de 2021, elle-même transposition des… pic.twitter.com/A6b4sESKCH
— Florian Philippot (@f_philippot) January 1, 2025
👉 Les ZFE sont la plus grande bombe à retardement sociale qui existe en France 💣 pic.twitter.com/O8SBTnSs40
— 40 millions d’automobilistes (@40MA) January 23, 2025
La Zone à Faibles Émissions (ZFE) est un dispositif mis en place pour restreindre l’accès aux centres urbains aux véhicules les plus anciens et les plus polluants.
L’objectif est clair :
Réduire la pollution et améliorer la qualité de l’air dans les grandes agglomérations.
Depuis le 1er janvier 2025, plusieurs nouvelles ZFE entreront en vigueur dans différentes métropoles, imposant des règles plus strictes aux automobilistes.
Toutefois, pour éviter de pénaliser les ménages les plus modestes, des dérogations spécifiques ont été mises en place, permettant à certains conducteurs de continuer à circuler sous certaines conditions.
Instaurées dans le cadre de la loi Climat et Résilience de 2019, les Zones à Faibles Émissions (ZFE) ont été pensées pour restreindre la circulation des véhicules les plus anciens et polluants dans les zones urbaines denses.
L’objectif affiché est de réduire la pollution de l’air et d’améliorer la santé publique.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : selon Santé publique France, la pollution de l’air est responsable de 40 000 décès chaque année.
Face à cet enjeu, les collectivités durcissent progressivement les règles, contraignant de nombreux automobilistes à se séparer de leur véhicule.
Les changement concernants la ZFE dans cette vidéo ⬇️
Quelles ZFE sont actives ?
Actuellement, 12 grandes métropoles appliquent déjà des Zones à Faibles Émissions (ZFE), mais avec des règles et des périmètres qui varient en fonction des décisions locales.
Initialement, une loi adoptée en 2021, dans la continuité de la Convention citoyenne sur le climat, prévoyait d’étendre ces restrictions à 43 métropoles dès le 1er janvier 2025. Cependant, la situation a évolué.
Dans certaines villes, la pollution de l’air est restée sous les seuils fixés par l’OMS, ce qui a permis des exemptions, comme au Mans ou à Saint-Nazaire, et un assouplissement du calendrier.
Par ailleurs, dans un contexte social tendu et marqué par l’inflation, les autorités hésitent à appliquer des mesures trop strictes, qui pénaliseraient de nombreux automobilistes n’ayant pas les moyens de remplacer leur véhicule.
Si votre voiture risque d’être concernée par ces nouvelles restrictions, Delivauto vous propose une solution rapide, simple et sans contrainte : nous rachetons votre véhicule, qu’il soit en panne, HS, accidenté, non roulant avec ou sans contrôle technique, vous permettant ainsi d’anticiper ces évolutions sans subir de perte financière.
Une application progressive et inégale
Depuis le 1er janvier 2025, la mise en place des Zones à Faibles Émissions (ZFE) ne suit pas un modèle uniforme. Chaque collectivité a ajusté les règles en fonction des réalités locales, rendant l’application de ces restrictions très variable d’une ville à l’autre.
Si 43 métropoles de plus de 150 000 habitants étaient théoriquement concernées, seules 16 nouvelles collectivités ont finalement décidé d’activer une ZFE dès cette date, rejoignant ainsi les 12 métropoles qui en avaient déjà une.
Parmi les villes qui renforcent leurs restrictions, on retrouve Caen, Nantes, Rennes, Tours et Bordeaux, mais avec des critères souvent moins stricts qu’annoncé initialement.
Dans la majorité des cas, seuls les véhicules mis en circulation avant 1997 sont réellement impactés, laissant une marge de manœuvre aux propriétaires de voitures plus récentes.
ZFE : les villes concernées depuis le 1er janvier 2025
43 métropoles sont concernées par la mise en place d’une zone à faibles émissions (ZFE) ou territoire de vigilance depuis le 1er janvier 2025 :
Une mise en place qui s’essouffle
Alors qu’elle était censée être une priorité, la généralisation des Zones à Faibles Émissions (ZFE) au 1er janvier 2025, prévue par la loi de 2021, semble aujourd’hui passer au second plan.
Après les exemptions annoncées en 2023, plusieurs villes ont choisi de gagner du temps, laissant les automobilistes dans l’incertitude.
À Brest, Lens-Douai ou Avignon, aucune décision claire n’a encore été prise, tandis qu’à Bayonne, la ZFE n’entrera finalement en vigueur que le 1er mars 2025.
Quant à Perpignan, le débat est toujours en cours et pourrait repousser toute mise en place à 2026.
Dans ce contexte flou, où les règles changent constamment, les propriétaires de véhicules anciens sont pris au piège.
Faut-il attendre en espérant une nouvelle dérogation ou anticiper dès maintenant ?
Avec Delivauto, pas de doute ni de perte de temps : nous vous rachetons votre voiture, même en panne, accidentée ou sans contrôle technique, pour vous éviter de subir les restrictions à venir.
Le truc est extraordinaire … le #gueux, à l’issue de la permission provisoire de s’infiltrer en ville chez le bobo, doit fuir aux 12 coups de minuit – 24h après – comme dans Cendrillon ! Il a le droit de venir en ville furtivement… puis il doit regagner ses pénates de gueux https://t.co/b0J2ueCXL4
— Alexandre Jardin (@AlexandreJardin) January 24, 2025
Vignettes Crit’Air : le sésame pour circuler en ZFE
Pour filtrer l’accès aux Zones à Faibles Émissions (ZFE), les autorités ont mis en place le système des vignettes Crit’Air.
Cette pastille, à apposer sur le pare-brise, permet de classer les véhicules en fonction de leur impact environnemental, selon leur ancienneté, leur motorisation et le type de carburant utilisé.
Les véhicules 100 % électriques ou à hydrogène sont les seuls à bénéficier du sésame vert, leur offrant une totale liberté de circulation. Pour les autres, la classification s’étend de Crit’Air 1 (les moins polluants) à Crit’Air 5 (les plus polluants).
Et si votre véhicule a été construit avant 1997, c’est encore pire :
il est hors classement et donc exclu des ZFE.
Si vous possédez un véhicule qui risque de se retrouver interdit de circulation, inutile de subir les restrictions. Delivauto vous propose une solution rapide et efficace : nous rachetons votre voiture, même en panne, accidentée ou sans contrôle technique, pour vous permettre de tourner la page sans tracas.
Le prix d’une vignette Crit’Air est de 3,77 € par véhicule (3,11 € + 0,66 € d’affranchissement), et elle peut être commandée sur le site officiel du gouvernement.
Dans quelle catégorie Crit’Air se classe mon véhicule ?
Le seuil de Crit’Air 3 : une mise en place plus souple
Comme souligné précédemment, les collectivités ont pris soin de ne pas imposer des restrictions trop sévères, notamment pour les foyers modestes.
Dans de nombreuses ZFE, seules les voitures hors classe sont interdites, et des dérogations nombreuses viennent limiter l’impact de ces mesures.
Initialement, la loi prévoyait l’interdiction de circulation des véhicules classés Crit’Air 3 à partir du 1er janvier 2025.
Cependant, grâce aux améliorations de la qualité de l’air observées depuis 2022, la mise en place de cette restriction a été assouplie.
Désormais, sauf dans des villes comme Lyon et Paris, les métropoles ne sont plus tenues d’appliquer cette mesure.
Les zones où les restrictions sont les plus strictes se trouvent à Paris, Grenoble, Montpellier et Lyon, où la vignette Crit’Air 3 est déjà concernée.
En revanche, dans six autres métropoles, la ZFE s’applique uniquement aux véhicules Crit’Air 4, comme à Marseille-Aix-en-Provence, Nice, Reims, Strasbourg, Toulouse et Rouen.
Si votre véhicule est concerné par ces restrictions, Delivauto vous offre l’opportunité d’échapper aux contraintes imposées par les ZFE en rachetant votre véhicule d’occasion de plus ou moins de 10 ans en l’état avec ou sans CT sans vous déplacer !
ZFE : quels sont les véhicules interdits ?
Seuil d’application des restrictions par ZFE (hors dérogations) depuis le 1er janvier 2025 :
À #Paris le cynisme est maximal : un Pass-gueux est créé pour que le pauvre, par mansuétude, ait droit par dérogation, en sollicitant son Pass-manant, à pénétrer dans la ville (24 fois pas plus) avec sa chariotte. Sinon il sera tenu en lisière de la A86. Seul le riche est toléré pic.twitter.com/bsZ07PBsyi
— Alexandre Jardin (@AlexandreJardin) January 5, 2025
Des dérogations nombreuses pour faciliter la circulation
L’accès aux Zones à Faibles Émissions (ZFE) reste largement possible, même pour les véhicules hors classe, grâce à de nombreuses exemptions prévues par la loi.
Parmi les plus courantes, on trouve les camions de chantier, les commerces ambulants, les transports de matières dangereuses, ainsi que les véhicules de collection et les personnes en affection longue durée.
Chaque métropole a ajouté ses propres assouplissements.
À Nantes, par exemple, les restrictions ne s’appliquent que du lundi au vendredi, hors jours fériés, et uniquement durant les heures de pointe, de 7 h à 9 h et de 16 h à 19 h.
Les personnes ayant des horaires décalés ou n’entrant dans la ZFE que occasionnellement (comme pour un rendez-vous médical ou une convocation administrative) sont exemptées.
En plus de ces dérogations, il est possible de demander un passe pour accéder à la ZFE occasionnellement. À Paris, Rouen et Bordeaux, ce passe permet de circuler 24 jours par an, tandis qu’à Rennes, il peut être demandé jusqu’à 52 fois.
Si votre véhicule n’a pas de vignette Crit’Air, ou si celle-ci est hors classe ou interdite, et que vous ne bénéficiez d’aucune dérogation, vous risquez une amende de 68 €.
Cependant, en ce début de 2025, les risques de contravention restent minimes. Pendant les premières semaines et même les premiers mois, la priorité sera donnée à la pédagogie.
Les autorités inviteront les automobilistes concernés à se mettre en conformité et à se renseigner sur les aides disponibles pour adapter leur véhicule ou changer de mode de transport.
Si votre voiture est non conforme aux nouvelles règles, ne paniquez pas :
Pour éviter tout risque, nous rachetons votre véhicule, qu’il soit accidenté, en panne, HS, non roulant avec ou sans contrôle technique, vous permettant ainsi de vous conformer rapidement aux exigences des ZFE sans subir de sanctions !
Quelques réaction d’internautes sur les ZFE !
Le 7 janvier par Olivier
nous sommes des grenouilles qui se faisons cuir dans la casserole européiste mondialiste.
Le 4 janvier par Pouet
Zones à forte exclusion des pauvres.
Le 4 janvier par hibreman
Pour une fois l’UE pourrait servir à quelque chose : en effet, les ZFE sont une violation flagrante d’un de ses principes fondateurs qui est la libre circulation des personnes ! Il faut traîner l’état français devant la CJUE !
Un calendrier flou et des dérogations à la carte !
Amiens, Perpignan bénéficient d’une dérogation, tout comme Le Mans ou Orléans qui profitent d’une dispense. Béthune ou Valenciennes sont toujours indécises, tandis que Bayonne et Metz se donnent un délai supplémentaire.
Le calendrier d’application des Zones à Faibles Émissions (ZFE), censé être clair, découle de la loi Climat et Résilience de 2021.
Mais dans la réalité, alors qu’au 1er janvier 2025, 43 métropoles doivent être concernées (ce qui exclut plus de 1,8 million de véhicules, soit 11 % des voitures immatriculées), c’est la cacophonie qui prévaut.
Cette mesure, pourtant bien cadrée sur le papier, reste injuste et antisociale pour les automobilistes qui n’ont pas les moyens de remplacer leur vieux véhicule par un modèle plus récent.
La confusion continue de régner sur la mise en place de cette restriction.
Alors, si vous vous sentez concernés par ces nouvelles règles, ne laissez pas votre véhicule se dévaluer plus longtemps.
Vendez nous votre véhicule d’occasion, afin de vous permettre de vous adapter aux nouvelles contraintes sans stresser.
Les ZFE sont encore bien floues et difficiles à appliquer de manière juste, surtout pour les automobilistes qui ont le budget le plus restreint.
Un véritable casse-tête pour les automobilistes
Enfin, si la loi Climat et Résilience de 2021 était réellement appliquée, la situation serait différente. Mais dans les faits, c’est plutôt le bazar qui règne.
Entre dispenses et dérogations, périodes pédagogiques et premiers PV à 68 €ou 135 €, les ZFE continuent de semer la confusion et d’ajouter de la complexité dans la vie des automobilistes.
Du côté de Delivauto, on ne va pas se plaindre de ce retard à l’allumage, bien au contraire. Ce délai permet aux 1,8 million de véhicules concernés (sans oublier les poids lourds) d’avoir un peu plus de temps pour circuler sans trop s’inquiéter des contraventions, du moins pour l’instant.
Mais il faut bien l’admettre, cette loi semble être l’une des plus mal ficelées, méconnues et à côté de la plaque qu’on ait jamais vues.
Une réforme qui peine à décoller
Depuis le 1er janvier 2025, la grande nouveauté, c’est que les ZFE sont passées de deux zones obligatoires (le Grand Paris et Lyon) à un total de 43.
En théorie, c’est une avancée importante. Mais dans les faits, comme le montre notre tableau ci-dessous, douze des 43 ZFE ne prennent pas de mesures pour l’instant, malgré ce qui est prévu par la loi.
Et si l’on en croit le standard téléphonique de Delivauto, qui ne cesse de sonner, personne n’est vraiment au courant de ce qui se passe.
L’application des ZFE est encore floue, et les automobilistes, en particulier ceux qui conduisent des véhicules plus anciens, sont dans l’incertitude.
Si vous êtes concerné par cette nouvelle réglementation, Delivauto est là pour vous accompagner, nous rachetons votre véhicule, même s’il est en panne, HS, accidenté avec ou sans contrôle technique.
Cela vous permet de gagner du temps et de ne pas vous laisser piéger par une réglementation qui évolue dans tous les sens. Et bien sur on vous épargne la paperasse, toutes les démarches administratives on s’en occupe !
La valse des dispenses et dérogations
Depuis le 1er janvier 2025, les ZFE devaient être appliquées dans certaines grandes métropoles. Mais voilà, la réalité est bien plus floue et chaotique.
Prenons l’exemple de lamétropole de Dijon, qui, selon son arrêté ZFE, aurait dû interdire la circulation des véhicules à vignette Crit’Air « NC » (les véhicules d’avant 1997 et certains poids lourds).
Le texte officiel commence ainsi : « À compter du 1er janvier 2025, l’ensemble des voies de circulation de la Métropole de Dijon, situé à l’intérieur de la rocade, est dorénavant inclus en zone à faibles émissions mobilités… ». Mais quelques lignes plus bas, on lit : « De manière temporaire, la mesure instaurée à l’article 1er ne s’applique pas, à titre dérogatoire, à l’ensemble des véhicules ».
Un vrai casse-tête pour les automobilistes, n’est-ce pas ?
Et Dijon n’est pas la seule à naviguer en eaux troubles.
À Toulon, on annonçait des interdictions pour les véhicules Crit’Air 5 et NC de 8 h à 20 h du lundi au vendredi, mais fin décembre, la préfecture du Var a fait marche arrière, soulignant que la loi a des échéances, mais… sans cadre coercitif. Un sacré retournement de situation !
Des PV… ou pas ?
Alors, que va-t-il se passer côté amendes ? Selon les dernières infos, la verbalisation automatique pour non-respect des ZFE ne sera en place qu’à partir de 2026.
Mais attention, ça ne veut pas dire que tout va être tranquille jusqu’à cette date. Derrière ces fameuses périodes pédagogiques qui laissent penser à un peu de souplesse, il y a un vrai casse-tête à gérer.
En effet, il faut croiser les bases de données nationales et locales pour savoir si un véhicule doit se prendre une amende. Ce défi technologique profite donc pour l’instant aux conducteurs, mais c’est clairement un répit temporaire.
Rien n’est gagné !
Car lorsque les PV à grande échelle commenceront à pleuvoir, les erreurs aussi risquent de se multiplier. On a déjà vu ça en 2023, lorsque nous avons mis la main sur le schéma de principe du contrôle automatisédes ZFE.
On peut être sûr que ces amendes généreront indignation et réactions vives, mais ne vous y trompez pas : avec des collectivités en quête de liquidités, il est fort probable qu’elles voient dans ces amendes une bonté financière.
Un décret publié le 31 décembre 2024 a même précisé comment les recettes seront affectées.
ZFE de Bordeaux : seuls les véhicules non classés sont concernés en 2025
Depuis le 1er janvier 2025, la Zone à Faibles Émissions mobilité (ZFE-m) de Bordeaux est en place, et elle concerne principalement les véhicules non classés.
Ces derniers sont définis comme les véhicules immatriculés avant 1997pour les voitures particulières, avant octobre 1997 pour les utilitaires légers, avant octobre 2001 pour les poids lourds, et avant juin 2000 pour les deux-roues.
Si vous conduisez l’un de ces véhicules, c’est à vous que cette restriction s’applique.
Le périmètre de la ZFE bordelaise couvre l’ensemble du territoire intra-rocade, soit 14 des 28 communes de la métropole. Cette zone est active 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, pour restreindre la circulation des véhicules les plus polluants.
L’objectif est de réduire les polluants dans l’air, en limitant l’accès aux véhicules les moins propres. Si au départ, la ville avait prévu d’interdire les véhicules Crit’Air 5, 4 et 3, elle a révisé ses ambitions pour ne conserver que le minimum exigé par l’État.
Bien que seuls 2 % des véhicules de la métropole soient directement concernés par ces restrictions, la ville a mis en place plusieurs mesures pour aider les habitants.
Un pass ZFE :
Il permet aux véhicules exclus de circuler dans la ZFE jusqu’à 24 jours par an, et des parkings relais proches de la rocade sont accessibles aux conducteurs.
Bordeaux Métropole encourage aussi l’usage des transports en commun, des vélos électriques, ou même l’autopartage, avec des aides financières allant jusqu’à 500 € pour l’acquisition d’un vélo-cargo ou un abonnement aux transports publics.
Côté contrôle, la vérification des plaques d’immatriculation sera automatisée à partir de 2026, et les contrevenants risquent une amende de 68 €.
Et si vous êtes dans l’incapacité de vous adapter à ces nouvelles règles, Delivauto vous offre une solution simple et rapide pour vous débarrasser de votre véhicule hors normes.
Nous reprenons votre voiture, même en cas de panne ou d’absence de contrôle technique, pour vous éviter de prendre des risques liés aux ZFE.
ZFE : Les véhicules crit’air 3 interdits à Paris et en petite couronne depuis janvier 2025
Depuis le 1er janvier 2025, les véhicules Crit’Air 3 sont désormais interdits de circulation dans Paris et en petite couronne, soit dans 79 communes.
Cette nouvelle restriction fait partie de la mise en place de la Zone à Faibles Emissions (ZFE) du Grand Paris, une initiative visant à lutter contre la pollution en réduisant le nombre de véhicules polluants.
Concrètement, cela signifie que, sauf exception, les véhicules diesel de plus de 14 ans et les véhicules essence de plus de 19 ans ne peuvent plus circuler en semaine, de 8 h à 20 h (hors week-end et jours fériés), dans le périmètre délimité par l’A86.
Ces nouvelles mesures viennent s’ajouter aux précédentes restrictions, comme la Zone à Trafic Limitée au centre de la capitale et la réduction de la vitesse du périphérique à 50 km/h.
Toutefois, un Pass 24h sera mis en place pour permettre à certains véhicules de circuler dans Paris. Ce pass permettra de circuler jusqu’à 12 jours par an, une bouffée d’air pour les automobilistes concernés.
Bien sûr, pour le moment, les contrôles et sanctions automatisées ne seront activées qu’à partir de 2026, mais il vaut mieux être prêt et anticiper ces changements.
Toutes les informations sur la ZFE dans la Métropole de Lyon
Depuis quelques années, la Métropole de Lyon a pris un virage décisif en matière de réglementation automobile. La Zone à Faibles Émissions (ZFE), mise en place pour lutter contre la pollution, impose des restrictions de circulationaux véhicules jugés trop polluants. Si vous roulez encore avec une voiture ancienne, mieux vaut savoir à quoi vous attendre.
Depuis 2022, les professionnels ont été les premiers touchés. Les véhicules utilitaires légers (VUL) et poids lourds (PL) classés Crit’Air 3, 4 et 5 n’ont plus le droit de circuler ni de stationner dans le périmètre de la ZFE. Et ce n’était que le début.
Pour les particuliers, le couperet est tombé le 1er janvier 2024 : exit les voitures Crit’Air 4, 5 et non classées. Et attention, depuis le 1er janvier 2025, c’est au tour des véhicules particuliers Crit’Air 3 de se voir interdire l’accès à la ZFE, autrement dit :
- Les diesels immatriculés avant 2011
- Les essence immatriculées avant 2006
La ZFE lyonnaise ne se limite pas à quelques rues.
Elle englobe Lyon, Villeurbanne, Bron, Vénissieux et Caluire-et-Cuire, à l’intérieur du boulevard périphérique Laurent Bonnevay, ainsi que les grands axes comme les M6 et M7 ou encore le boulevard périphérique nord. Et contrairement à d’autres villes, ici, la restriction est permanente : 24h/24 et 7j/7, en circulation comme en stationnement.
Si, pour l’instant, les contrôles se font encore manuellement avec 300 agents déployés, ne comptez pas sur un manque de vigilance. Dès 2026, des radars à lecture automatique de plaques viendront sanctionner les véhicules non conformes.
Alors, que faire si votre voiture est concernée par ces restrictions ? Plusieurs solutions s’offrent à vous. La Métropole de Lyon et l’État proposent des aides financières pour passer à un véhicule plus récent, électrique ou à hydrogène. Mais soyons honnêtes, ces primes ne suffisent pas toujours à absorber le coût d’un nouveau véhicule.
Une autre option :
Se séparer de son ancien véhicule avant d’être pris au dépourvu. C’est là que Delivauto entre en jeu. Plutôt que de voir votre voiture immobilisée ou de risquer une amende de 68 à 135 € à chaque passage, autant la revendre en toute simplicité. Nous reprenons tous types de véhicules, même ceux qui sont en panne, accidentés ou sans contrôle technique. Pas de paperasse compliquée, pas de mauvaise surprise : une estimation rapide et un rachat efficace.
Enfin, si vous n’avez pas d’autre choix que de circuler dans la ZFE avec un véhicule interdit, des dérogations existent. Le dispositif “Petit Rouleur” permet d’obtenir jusqu’à 52 jours de circulation par an. Une autre dérogation a été mise en place pour les travailleurs en horaires décalés, valable jusqu’à fin 2026.
Plutôt que de subir la réglementation, anticipez. Delivauto est là pour vous aider à vous débarrasser de votre voiture dans les meilleures conditions et à préparer la transition en toute tranquillité. Contactez-nous, on s’occupe de tout !
Grenoble. Ces automobilistes bloqués par la ZFE : « Je n’ose plus prendre la voiture »
Depuis le 1er janvier 2025, une nouvelle contrainte s’est imposée aux automobilistes de la métropole de Grenoble : les voitures Crit’Air 3 n’ont plus le droit de circuler dans 13 communes. Une réglementation anticipée depuis un moment, mais qui met aujourd’hui beaucoup de conducteurs dans une impasse.
Parmi eux, Frédéric Fialais, habitant du Vercors, qui se retrouve bloqué avec sa voiture diesel pourtant en parfait état. « Elle tourne comme une horloge », explique-t-il. Mais les nouvelles règles l’empêchent de se rendre à Grenoble, où il a pourtant des obligations : consultations médicales, visites à ses proches, gestion d’un bien immobilier… Impossible de tout faire sans voiture. « On est mis de côté, c’est discriminatoire ! », s’insurge-t-il.
Laurence Hanriat, enseignante dans la vallée du Grésivaudan, fait face à la même galère. Sa Volvo diesel de 2008, qui passe sans problème le contrôle technique, est elle aussi persona non grata dans la métropole. Sensible aux enjeux écologiques, elle comprend la logique d’un centre-ville apaisé, mais trouve que tout est fait pour compliquer la vie des automobilistes. « J’ai l’impression qu’on cherche à nous bloquer. »
Changer de voiture ? Pour beaucoup, c’est mission impossible.
« Je vis avec 1 000 euros par mois, je ne peux pas m’acheter un véhicule plus récent et encore moins emprunter », explique Frédéric.
Quant aux transports en commun, ce n’est pas la solution miracle : trop chers, trop loin, trop contraignants. Laurence doit marcher 9 kilomètres pour attraper un bus, et le train est hors budget. En plus, les infos sur la ZFE sont floues : « J’ai entendu dire qu’il n’y aurait pas de PV tout de suite, mais je ne suis pas sûre… Du coup, je n’ose plus prendre la voiture. »
Effectivement, la Métropole de Grenoble prévoit une « période pédagogique » jusqu’au 30 juin 2025. Mais après ? Les automobilistes risquent de lourdes sanctions s’ils ne trouvent pas d’alternative.
Alain Freyssinet, président de l’Automobile Club Dauphinois, est lui aussi concerné. Sa Peugeot essence de 2003, en Crit’Air 3, aurait pu être classée Crit’Air 2… si elle avait été immatriculée quelques années plus tard ! « C’est un non-sens total », souligne-t-il. Des milliers d’automobilistes sont piégés par des décisions absurdes.
Face à cette situation :
Delivauto offre une solution concrète à ceux qui se retrouvent dans une impasse avec leur véhicule interdit de circulation. Reprise rapide, sans contrainte, partout en France, y compris pour les voitures accidentées ou en panne. Pour tous ceux qui doivent se séparer de leur voiture sans perdre de temps, c’est une option à envisager sérieusement. Grenoble se ferme aux Crit’Air 3 ? Autant en tirer le meilleur prix plutôt que de la laisser prendre la poussière !
ZFE à Montpellier : « depuis le 1er janvier avec mon camion Crit’ air 3, je n’ai plus le droit de rentrer en ville »
Depuis le 1er janvier, la ZFE de Montpellier est montée d’un cran, interdisant désormais les véhicules Crit’Air 3 dans la métropole. Officiellement, ces voitures et utilitaires ne sont plus autorisés à circuler. Mais, face à la colère des automobilistes et des artisans, la Métropole a choisi de ne pas verbaliser… du moins, pour l’instant.
Jean-Claude Gross, plombier électricien à Saint-Martin-de-Londres, roule avec un camion fiable, robuste et économique. Sauf que, selon la nouvelle réglementation, il ne devrait plus mettre les roues en ville. « Depuis le 1er janvier, avec mon Crit’Air 3, je n’ai plus le droit d’entrer dans Montpellier », explique-t-il, amer.
L’idée de la ZFE est de réduire la pollution en ville en excluant les véhicules les plus anciens. Mais pour de nombreux professionnels, changer de véhicule est tout simplement hors budget. Jean-Claude le dit sans détour : « À deux ans de la retraite, je ne vais pas investir 50 000 ou 60 000 euros dans un véhicule neuf ».
Une interdiction… mais sans amendes
Depuis cette année, les diesels d’avant 2011 et les essences immatriculées avant 2006 sont concernés. Sur le papier, ces véhicules sont interdits. En pratique, la Métropole joue la carte de la tolérance. Julie Frêche, adjointe aux mobilités, l’assure : « Il n’y aura aucune verbalisation » pour le moment. La priorité est de ne pas pénaliser les artisans et autres professionnels qui dépendent de leur véhicule.
Les artisans toujours dans l’impasse
Du côté de la CAPEB 34, le syndicat des artisans du bâtiment, on apprécie ce sursis… mais on reste méfiant. Le gros problème, c’est que les détenteurs d’un Crit’Air 3 ne peuvent plus obtenir de pass centre-ville, indispensable pour accéder à certaines zones comme l’Écusson.
Jean-Pierre Garcia, président de la CAPEB Hérault, reçoit chaque jour des professionnels dans l’impasse : « Ils n’ont plus accès au pass, alors qu’ils en ont besoin pour travailler ». Une situation inacceptable pour le syndicat, qui espère faire bouger les choses en rencontrant la Métropole.
ZFE : Strasbourg prend une décision radicale !
Du côté de Strasbourg, coup de théâtre sur la ZFE ! Alors que les véhicules Crit’Air 3 devaient être interdits dès le 1er janvier, l’Eurométropole a décidé de repousser l’échéance de deux ans. Une décision inattendue qui va clairement soulager bon nombre d’automobilistes.
Jeanne Barseghian, maire de Strasbourg et première vice-présidente de l’Eurométropole, a justifié ce choix en s’appuyant sur les chiffres : la pollution a fortement baissé dans la région, avec un passage de 220 000 personnes exposées au dioxyde d’azote à seulement 7 800 dépassant encore les seuils autorisés.
Un report qui arrive comme une bouffée d’oxygène pour beaucoup. Pauline Joly, experte en mobilité décarbonée, le reconnaît : « Changer de véhicule en 2025, c’était un gros problème pour certains. Avec deux ans de plus, ça permet de mieux se préparer ».
Mais ce sursis ne plaît pas à tout le monde.
Les défenseurs de l’environnement dénoncent une décision qui envoie, selon eux, un mauvais signal. Thomas Bourdrel, médecin et fondateur du collectif Strasbourg Respire, estime que les Crit’Air 3 restent une priorité à bannir.
« Ces vieux diesels de plus de 11 ans sont parmi les plus nocifs, avec des émissions de particules fines et de dioxyde d’azote qui ont des effets cancérigènes, cardiovasculaires et respiratoires », rappelle-t-il.
Entre soulagement des conducteurs et inquiétudes des médecins, ce report relance le débat autour des ZFE. Une chose est sûre : si vous roulez en Crit’Air 3 dans la région, vous avez encore un peu de temps devant vous… mais pas éternellement.
Rennes passe à la vitesse supérieure avec sa Zone à Faibles Émissions. Depuis le 1er janvier 2025, les voitures les plus polluantes n’ont plus le droit de circuler dans la métropole. Au début, seules les plus anciennes sont concernées, mais les interdictions vont s’intensifier progressivement jusqu’en 2030.
Désormais, pour circuler à l’intérieur de la rocade, une vignette Crit’Air est obligatoire pour tous les véhicules : deux-roues, voitures, camionnettes, poids-lourds… pas d’exception. Attention, si la rocade et certains quartiers résidentiels restent accessibles, la ZFE restreint fortement l’accès aux véhicules les plus polluants.
La montée en puissance des restrictions est programmée : les véhicules non classés sont les premiers visés, puis les diesels Crit’Air 5 en 2027, les Crit’Air 4 en 2029, et enfin, les Crit’Air 3 en 2030. L’objectif est clair : réduire au maximum la pollution automobile dans le centre de Rennes.
Bien sûr, il existe des dérogations.
Les véhicules de secours, la police, les transports médicaux urgents et ceux destinés aux personnes handicapées ne sont pas concernés. Mais d’autres cas particuliers ont été pris en compte suite aux discussions avec les habitants.
Besoin d’entrer occasionnellement dans la ZFE ? Le Pass ZFE 24h est là pour ça. Il permet de circuler 52 jours par an, avec une simple déclaration des dates d’utilisation. Que ce soit pour un rendez-vous médical, garder ses petits-enfants ou partir en vacances, cette solution peut éviter bien des galères.
Les travailleurs aux horaires décalés ne sont pas oubliés non plus. Ceux qui doivent prendre leur service avant 6h30 ou finir après 19h30 peuvent demander une dérogation valable trois ans, sur simple attestation de l’employeur. Même principe pour ceux qui habitent dans la ZFE mais travaillent hors de la zone et n’ont pas de solution de transport en commun.
Si vous êtes concerné par ces restrictions, mieux vaut anticiper et se renseigner sur les démarches à suivre. Une chose est sûre : la ZFE de Rennes est bien en marche et le calendrier ne laissera personne indifférent.
Comment Delivauto peut vous aider ?
Si votre véhicule Crit’Air 3 est concerné par ces restrictions, inutile de stresser. Chez Delivauto, nos experts vous propose une solution simple et rapide : la reprise de votre voiture d’occasion en panne, moteur HS, accidentée avec ou sans CT, quel que soit son état (en panne, accidentée, ou sans contrôle technique).
En plus, on s’occupe des démarches administratives pour vous faire gagner du temps.
C’est l’occasion parfaite pour vendre votre ancien véhicule ou encore voiture de collection sans prise de tête et anticiper la transition imposée par la ZFE.
Sans prise de tête !
Vous avez accepté notre offre ? Nous nous occupons de tout ! Nous prenons en charge le transport de votre véhicule, que ce soit sur plateau ou par dépanneuse. Inutile de vous soucier des démarches administratives : notre équipe gère l’intégralité des formalités liées à la vente, notamment la carte grise et les documents nécessaires à la reprise.
- Certificat d’immatriculation (carte grise)
- Certificat de cession (Formulaire 15776*02 PDF)
- Non-gage (Certificat de situation administrative)
- Formalités et enregistrement ANTS
Avis de la rédaction
🚗 ZFE : Zone à Forte Emmerde ou Zone à Forte Exclusion des pauvres ?
On nous l’avait vendue comme une mesure pour sauver la planète, mais soyons honnêtes : la ZFE, c’est surtout une Zone à Forte Exclusion… des pauvres. Parce que, soyons clairs, qui roule encore en diesel Crit’Air 3 ou 4 ? Ceux qui n’ont pas les moyens de s’acheter une voiture récente, pas ceux qui paradent en Tesla dans les centres-villes.
🛑 T’as pas 30 000 balles pour une bagnole neuve ? Reste chez toi !
Avec leur logique, si t’as pas un gros budget, tu deviens un banni de la route. Tu bosses en horaires décalés ? Tant pis. T’habites en campagne et t’as pas de transports ? Débrouille-toi. T’es artisan et ton fourgon roule comme une horloge mais il est trop vieux pour leurs normes ? Change de métier !
⚠️ Toujours les mêmes qui trinquent
On nous sort la carte de l’écologie, mais on ne touche surtout pas aux gros pollueurs : camions de livraison, avions, industries… Non, le coupable idéal, c’est toi, avec ta vieille Clio diesel qui fait son taf depuis 15 ans sans broncher.
Bref, la ZFE, c’est pas une « Zone à Faibles Émissions », c’est une Zone à Forte Emmerde. Un truc pondu par des bureaucrates déconnectés qui prennent le tram une fois par an pour la photo et qui pensent que tout le monde peut faire du vélo sous la pluie avec trois gosses et un sac de courses.
Bienvenue dans la ZFE : la zone où si t’es pas riche, t’es prié de disparaître.
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Sources