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Quels sont les véhicules moteurs essence à « surtout » éviter en 2025 ?
Sommaire
- Quels voitures moteurs essence faut-il avoir à l’œil chez Stellantis ?
- Il y a quoi d’autre chez Stellantis ?
- Qu’en est-il au sein de chez Renault ?
- Volkswagen quels sont les moteurs à problème ?
- Fiat et Ford, des moteurs à ne pas quitter des yeux !
- POUR RÉSUMER
- Quels moteurs Peugeot éviter en 2025 ?
- Les moteurs Peugeot à éviter : attention aux mauvaises surprises !
- Comment éviter les mauvaises surprises avec votre Peugeot ?
- Les préventions pour ne pas avoir un moteur HS
- Les moteurs à éviter
- Les moteurs les moins fiables selon les types de véhicules :
- Comment choisir « LE BON » moteur ?
- Comment ça fonctionne avec Delivauto ?
- Contactez-nous
- Pour aller plus loin
- Sources
Les véhicules moteurs essence sont partout dans nos villes, et leur popularité ne cesse de croître, notamment sur le marché de l’occasion où ils s’imposent face aux diesels.
À noter qu’un malus sur le véhicule d’occasion entrera en vigueur en 2026.
Le marché de l’occasion est en plein renouveau et cette mue des moteur essence chez certains constructeurs y contribue mais attention, tous ne se valent pas.
Certains cachent bien leur jeu et peuvent réserver de mauvaises surprises, que ce soit en termes de fiabilité, de coût d’entretien ou de décote rapide.
En 2025, mieux vaut être bien informé avant de se lancer dans l’achat ou la revente d’un véhicule.
Certains moteurs ont la réputation d’être solides, mais d’autres traînent des casseroles qui peuvent vite transformer une bonne affaire en vrai casse-tête.
Si vous envisagez de changer de voiture, autant savoir quels modèles éviter pour ne pas tomber dans le panneau.
Et si vous voulez vendre votre voiture d’occasion avec un moteur essence peu fiable, Delivauto rachète votre véhicule d’occasion avec ou sans CT en panne, moteur HS, accidenté ou non roulant, illico presto sans vous déplacer !
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Quels voitures moteurs essence faut-il avoir à l’œil chez Stellantis ?
Chez Stellantis, qui regroupe des marques comme Peugeot, Citroën, DS et Opel, certains moteurs essence traînent une réputation un peu bancale.
Parmi eux, le 1.0 VTi/PureTech de 68 chevaux (EB0), qu’on retrouve sous le capot des Peugeot 208 et Citroën C3, a fait parler de lui pour une surconsommation d’huile et des soucis liés à la sonde du catalyseur, surtout avant 2013.
Son grand frère, le 1.2 VTi/PureTech (EB2), décliné en plusieurs puissances (68, 75 et 82 chevaux en atmosphérique, et 110 ou 130 chevaux en turbo), a lui aussi accumulé quelques casseroles jusqu’en 2014.
Problèmes de courroie de distribution qui s’use trop vite, soucis avec les bougies, caprices du catalyseur ou encore un vilebrequin qui prend un peu trop ses aises…
Autant dire que certains propriétaires ont dû passer plus de temps chez le mécano que sur la route.
D’ailleurs, ces moteurs PureTech sont aujourd’hui au cœur d’une action en justice, et en ce début d’année 2025, Stellantis a dû sortir la carte de l’indemnisation pour calmer les esprits.
Actuellement, Stellantis lance un rappel sur près de 70 000 Citroën C3, Peugeot 208 et Opel Corsa.
Sont concernés les modèles équipés du 3 cylindres 1.2 PureTech atmo de 82 ch (ou 83 ch) produits entre octobre 2022 et octobre 2024.
Le groupe précise qu’il s’agit d’un problème de fournisseur et non d’une malfaçon.
Les contacter ne suffit pas ! Des réclamations pleuvent depuis de nombreuses années du fait d’un moteur qui a mauvaise réputation !
Une plateforme dédiée a été mise en place pour les propriétaires touchés ces dernières années. Preuve que ces soucis ne sont pas juste des rumeurs…
Il y a quoi d’autre chez Stellantis ?
Chez Stellantis, les soucis ne s’arrêtent pas aux moteurs PureTech.
Les blocs EP, bien connus sous les capots des Peugeot, Citroën et Mini, ont aussi leur lot de casseroles.
Que ce soit en 1.4 VTi (EP3) ou en 1.6 VTi (EP6), ces moteurs, proposés avec des puissances allant de 75 à 122 chevaux, ont montré des signes de fragilité.
Parmi les pépins récurrents, on retrouve des soucis de joint de culasse, une détente capricieuse, mais surtout des chaînes de distribution qui se détendent et finissent par se décaler, avec parfois des conséquences dramatiques : une casse moteur pure et simple.
Du côté des versions turbocompressées, le 1.6 THP (EP6 DT), décliné de 125 à 270 chevaux, n’est pas en reste.
Jusqu’en 2012, certains modèles ont connu de vraies galères avec la chaîne de distribution, et sur les versions de 150 et 200 chevaux, c’est la pompe d’injection qui posait problème.
Des défaillances pouvant entraîner des dommages mécaniques importants, au point de remettre en question la durabilité et les performances de ces moteurs.
Bref, si vous envisagez d’acheter un véhicule équipé de ces blocs, mieux vaut bien se renseigner avant de signer, histoire d’éviter les mauvaises surprises sous le capot !
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Qu’en est-il au sein de chez Renault ?
Chez Renault, tout n’est pas rose sous le capot, et certains moteurs essence traînent une réputation plutôt mitigée.
Parmi eux, le 0.9 TCe (H4Bt), proposé en 90 et 110 chevaux sur des modèles Renault, Dacia et Nissan, a donné du fil à retordre à pas mal de conducteurs.
Jusqu’en 2016, des pertes de puissance et des à-coups venaient gâcher l’expérience de conduite, et jusqu’en 2018, des fuites de liquide de refroidissement particulièrement sur la Dacia Sandero venaient s’ajouter aux soucis.
Mais s’il y a bien un moteur à éviter, c’est le 1.2 TCe (H5Ft).
Avec ses versions de 100 à 130 chevaux, il équipe de nombreux modèles du groupe, mais il est aussi tristement célèbre pour sa surconsommation d’huile due à des problèmes de segmentation et des défauts d’étanchéité des cylindres.
Et ce n’est pas tout : chaîne de distribution qui se détend, soupapes d’échappement qui fondent sous la chaleur, capteur de turbo capricieux…
Autant de raisons qui ont poussé certains propriétaires à regretter leur achat.
Si vous envisagez un modèle équipé d’un de ces blocs, mieux vaut redoubler de vigilance pour éviter de se retrouver avec un moteur gourmand en réparations et en tracas mécaniques.
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Volkswagen quels sont les moteurs à problème ?
Chez Volkswagen, certains moteurs essence TSI n’ont pas toujours été un modèle de fiabilité.
C’est notamment le cas du 1.2 TSI (CBZ), décliné en 85, 86 et 105 chevaux, qui a équipé de nombreux modèles du groupe, que ce soit chez Volkswagen, Audi, Seat ou Skoda.
Jusqu’en 2012, ce bloc traînait un problème sérieux : sa chaîne de distribution pouvait lâcher sans prévenir, avec des conséquences potentiellement désastreuses pour le moteur.
Heureusement, à partir de 2015, Volkswagen a corrigé le tir en remplaçant ce moteur par une version Euro 6 (CJZ) équipée d’une courroie et proposée en 90 et 110 chevaux, mettant fin à ces galères.
Le 1.4 TSI (CAX), affichant des puissances entre 122 et 185 chevaux, n’a pas été épargné non plus.
Présent sous le capot de plusieurs modèles Audi et Volkswagen, il a connu les mêmes soucis de chaîne de distribution que le 1.2 TSI, mais ce n’est pas tout.
Jusqu’en 2012, une usure prématurée de la pompe à eau a également posé problème, forçant de nombreux propriétaires à enchaîner les réparations pour éviter des pannes plus graves.
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Fiat et Ford, des moteurs à ne pas quitter des yeux !
Chez Fiat, le moteur 0.9 TwinAir, proposé en 80 à 105 chevaux, s’est fait une place sous le capot de modèles emblématiques comme la Fiat 500, la Panda 3, la Punto 3, mais aussi chez Lancia avec l’Ypsilon et chez Alfa Romeo avec la MiTo.
Si ce petit bloc bicylindre se démarque par son côté nerveux, il a aussi connu son lot de galères mécaniques.
Jusqu’en 2012, certains propriétaires ont dû composer avec des fuites d’huile au niveau du joint de carter de distribution, des bobines d’allumage capricieuses, un turbo fragile et un volant moteur récalcitrant.
Ajoutez à cela une usure prématurée de l’embrayage, et on obtient un moteur qui pouvait coûter cher en réparations.
Du côté de Ford, le 1.0 EcoBoost, décliné en 80 à 140 chevaux, a séduit par ses performances et sa consommation maîtrisée.
On le retrouve sous le capot des Fiesta 5, Focus 3, C-Max 2, B-Max, Mondeo 4, ainsi que des Transit Connect 2 et Tourneo Connect 2.
Mais ce petit moteur plein de promesses a aussi eu ses moments de faiblesse.
Jusqu’en 2013, certaines versions souffraient d’une surconsommation d’huile et d’une distribution fragile, malgré les efforts de Ford pour limiter la casse.
Pire encore, jusqu’en 2014, des problèmes de pompe à eau ont entraîné des casses moteur sur certains modèles.
Quelques cas isolés de joints de culasse défectueux ont aussi été rapportés.
Bref, un moteur intéressant sur le papier, mais mieux vaut s’assurer de son historique avant de se lancer.
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POUR RÉSUMER
-
En 2025, plusieurs moteurs essence souffrent encore de problèmes de fiabilité, notamment chez Stellantis, Renault, Volkswagen, Fiat et Ford.
-
Les blocs PureTech de Stellantis et 1.2 TCe de Renault sont complètement visé par des soucis de surconsommation d’huile et des problèmes de distribution pouvant entraîner des pannes coûteuses.
-
Avant d’acheter une voiture d’occasion, il est essentiel de vérifier l’historique du moteur pour éviter les mauvaises surprises et les factures salées.
Quels moteurs Peugeot éviter en 2025 ?
Les voitures Peugeot sont souvent reconnues pour leur fiabilité et leur agrément de conduite, mais attention, tous leurs moteurs ne se valent pas.
Certains blocs ont accumulé les galères mécaniques, entre pannes récurrentes, gros soucis de fiabilité et factures salées en cas de réparation.
Si vous envisagez d’acheter une Peugeot d’occasion, mieux vaut se renseigner en amont pour éviter les mauvaises surprises.
Pour vous éviter les ennuis, on a passé au crible les pires moteurs essence produits par la marque française ces 20 dernières années.
On vous dit ce qui cloche, sur quels modèles ils ont été installés et quelles alternatives privilégier pour rouler l’esprit tranquille.
Délivrez-vous de votre Peugeot moteur Puretech avec Delivauto !
Les moteurs Peugeot à éviter : attention aux mauvaises surprises !
Quand on parle de moteur essence, on pense souvent à la puissance sous le capot, aux technologies innovantes et aux sensations de conduite.
Mais un détail qu’on oublie parfois, et qui peut vite tourner au cauchemar, c’est la fiabilité.
Et chez Peugeot, certaines motorisations ont fait parler d’elles… et pas toujours en bien.
Alors, avant de vous lancer dans l’achat d’une Peugeot d’occasion, autant savoir ce qui vous attend vraiment.
Prenons le 1.2 PureTech (2014-2018).
Un moteur vendu comme une petite révolution technologique.
Avec son architecture trois cylindres turbocompressée, il devait concilier performances et respect des normes environnementales.
Sauf que, dans la pratique, la désillusion a été brutale. Son gros point faible ?
Une courroie de distribution qui trempe dans l’huile.
À force, elle se détériore, libérant des résidus qui encrassent tout le circuit d’huile et accélèrent l’usure du moteur.
Résultat ? Des pertes de puissance soudaines, des réparations hors de prix, et parfois même un moteur à remplacer avant les 100 000 km.
Et pour ceux qui pensaient s’en tirer à bon compte ? Une facture dépassant les 6 000 euros, ça pique.
Autre moteur qui a fait parler de lui :
Le 1.6 THP (2006-2012). Issu d’un partenariat entre Peugeot et BMW, il avait tout pour plaire sur le papier : un moteur puissant, nerveux, peu gourmand.
Mais en réalité ? Un véritable cauchemar mécanique.
Entre l’accumulation de dépôts dans les soupapes, un système de refroidissement instable et une injection directe capricieuse, les soucis ne manquent pas.
Calages intempestifs, surchauffes, voire casse moteur brutale, nombreux sont ceux qui en ont fait les frais. Imaginez-vous tranquillement sur l’autoroute et voir votre moteur s’arrêter net sans prévenir.
C’est exactement ce qui est arrivé à un propriétaire qui, après seulement 90 minutes de route, a dû remplacer son turbo pour la modique somme de 3 500 euros.
Un moteur qui, clairement, aurait mérité un peu plus de fiabilité.
Et puis, il y a le 1.4 16v (TU3JP).
Un vieux de la vieille qui a équipé de nombreux modèles Peugeot dans les années 2000.
Ce moteur, ce n’est pas tant un défaut majeur, mais une accumulation de petits soucis qui finissent par peser lourd.
Ratés d’allumage, pertes de puissance aléatoires, chaque trajet peut rapidement se transformer en test de patience.
Sans parler du collecteur d’échappement, qui a tendance à fuir et générer un bruit infernal, avec des réparations loin d’être données.
Certains ont réussi à prolonger sa durée de vie avec un entretien aux petits oignons, mais soyons honnêtes : en 2025, ce moteur appartient clairement au passé.
« Acheter une voiture avec un moteur horrible et pas fiable peut transformer votre amour pour la l’automobile en gouffre financier. »
Comment éviter les mauvaises surprises avec votre Peugeot ?
Si vous voulez éviter que votre voiture ne se transforme en source de tracas financiers, il est primordial de miser sur une maintenance préventive.
C’est un peu comme un soin préventif pour votre moteur : un peu de vigilance aujourd’hui et vous évitez de grosses galères demain.
Voici quelques astuces pour vous assurer que votre Peugeot reste fiable sur la route.
Il existe plusieurs signaux d’alerte qui ne trompent pas, surtout si vous êtes attentif aux petits détails :
Par exemple, un voyant moteur allumé ? Ça ne doit jamais passer inaperçu !
Même si ça peut sembler anodin, ce petit voyant peut cacher tout un tas de soucis, du capteur défectueux au problème plus grave avec le moteur lui-même.
Attention aussi aux bruits bizarres :
si vous entendez des cliquetis, des sifflements ou des bruits de frottement, ça peut signifier que votre moteur commence à montrer des signes de faiblesse.
Pareil pour une perte de puissance ou des calages fréquents, ces symptômes ne sont jamais bon signe et doivent être pris au sérieux.
L’entretien préventif, c’est vraiment la clé.
Ne laissez pas un petit problème devenir un gros casse-tête ! Le secret réside dans un entretien régulier et rigoureux.
Suivez à la lettre les recommandations du constructeur, comme des vidanges régulières, un remplacement des filtres (huile, air, carburant), et bien sûr, un contrôle des liquides.
Ces étapes simples mais essentielles permettent d’éviter bien des tracas.
Il y a aussi la courroie de distribution, un élément crucial qui ne doit pas être négligé.
Si cette courroie casse, c’est tout le moteur qui risque de lâcher.
Soyez donc particulièrement vigilant sur les modèles PureTech, où cette courroie a posé des problèmes à certains propriétaires.
Ne sous-estimez pas l’importance de nettoyer le système d’injection.
Cette petite action permet d’éviter l’encrassement et de prolonger la durée de vie des injecteurs, en particulier pour les moteurs HDi, connus pour être sensibles à ce type de problème.
Autre point : le niveau d’huile.
Trop peu ou trop, ça peut vraiment causer des dommages irréversibles au turbo ou au moteur.
Mieux vaut vérifier de temps en temps et éviter ainsi les mauvaises surprises.
Parlons maintenant des moteurs à privilégier chez Peugeot et PSA.
Si certains moteurs comme le 1.2 PureTech ont fait parler d’eux pour de mauvaises raisons, il existe encore des blocs moteurs fiables et durables.
Par exemple, le 1.6 HDI (quand il est bien entretenu) reste une valeur sûre pour ceux qui cherchent un diesel robuste et économique.
Si vous préférez un moteur essence plus simple, les modèles non turbo comme le TU5JP4 offrent une mécanique fiable et rassurante.
Et si vous êtes attiré par les dernières innovations, les versions hybrides récentes de Peugeot allient fiabilité mécanique et technologie de pointe.
Si vous êtes sur le marché de l’occasion, n’oubliez pas de toujours vérifier l’historique d’entretien du véhicule. Un entretien complet et transparent est un gros gage de fiabilité pour éviter les mauvaises surprises et rouler sereinement.
Et si vous voulez parler de vos problèmes ou vous renseignez sur les moteurs Puretech vous pouvez rejoindre certains groupes Facebook comme celui ci ou si vous avez des problèmes lié a votre 1.5 BlueHdi vous pouvez rejoindre ce groupe !
Les préventions pour ne pas avoir un moteur HS
Peugeot a su s’imposer dans le monde de l’automobile avec des modèles qui ont marqué l’histoire, mais il faut bien avouer que certains moteurs, qu’ils soient essence ou diesel, ont laissé des traces pas franchement positives.
Des moteurs comme le 1.2 PureTech, le 1.6 THP, ou encore le 1.6 HDi ont fait parler d’eux pour des raisons qui, disons-le, ne sont pas des plus flatteuses.
Même les plus grandes marques ne sont pas à l’abri de défaillances techniques coûteuses.
Cependant, ce n’est pas une raison pour se laisser abattre.
L’entretien préventif reste votre meilleur allié pour éviter que des petits soucis deviennent des galères énormes.
L’astuce ? Respectez les intervalles d’entretien recommandés, surveillez les éléments clés comme la courroie, les injecteurs, et faites un nettoyage régulier des systèmes sensibles.
Avec ça, vous réduisez grandement les risques de mauvaises surprises et vous augmentez la durée de vie de votre moteur.
Quelques réactions des automobilistes ayant des moteur Puretech défectueux !
« Quand un constructeur ne reprend même plus ses propres voitures, je crois que tout est dit ! »
« Il faut fuir le groupe Stellantis , Peugeot, Citroën, Opel, Fiat, jeep ect…..
J’ai honte pour l’automobile française, je pense à tous ceux et celles qui ont acheté à crédit ou comptant (si je puis dire) qu’il savait que dans la majorité des cas défaillant, ou dangereux . »
« Même l’appelation « pureM..de » est trop flateur. »
« Toute marque automobile a ses problèmes et défauts de conception mais certains les assument par des prises en charges d’autres pas, abusé de la part d un groupe qui brasse des milliards d’euros »
Ça se revend mieux que les Peugeot avec un moteur PureTech. pic.twitter.com/u1f7D3rspu
— Jason Burne (@Monty_Brogan69) March 5, 2025
@Stellantis @ds_automobiles @Citroen @MyLeo_legal #Puretech @AlexiaOd06 @Gone691 pic.twitter.com/m1uSkxeHTb
— Benoît FLORIMOND (@BFLORIMOND) March 27, 2025
Marre des galères de moteur avec @PeugeotFR @Peugeot #moteur
#puretech #5008 pic.twitter.com/iQMQj6BIOf— Julie (@JulieOfficiel26) March 26, 2025
Les moteurs à éviter
Si vous êtes en quête d’une voiture fiable et durable, certains moteurs sont clairement à éviter.
Prenons par exemple le 1.2 PureTech de Peugeot et Citroën, qui a accumulé un certain nombre de rappels, notamment en raison de sa courroie de distribution humide qui se dégrade beaucoup plus vite que prévu.
En fait, Stellantis a dû prendre en charge les réparations sur certains modèles en Espagne, ce qui n’est pas vraiment gage de tranquillité.
Chez BMW, les moteurs N47 et B47 en diesel n’ont pas fait honneur à la réputation de la marque.
Ces moteurs BMW ont souffert de graves problèmes de chaîne de distribution, entraînant parfois des casses moteur assez coûteuses.
Ce n’est pas vraiment le genre de souci qu’on veut avoir sur la route, surtout avec des moteurs de cette catégorie.
De son côté, Volkswagen a aussi eu quelques ratés avec ses moteurs 1.2 et 1.0 TSI des années 2010.
Ces blocs sont connus pour leur consommation excessive d’huile et leur manque de robustesse.
Si vous ne voulez pas que votre moteur vous laisse en panne avant l’heure, mieux vaut passer votre chemin.
Enfin, si vous êtes tenté par une motorisation électrique, certaines options comme la Volkswagen e-Golf 7 risquent de vous décevoir.
Avec une autonomie trop faible et l’absence de recharge rapide, cette voiture risque de limiter sérieusement vos trajets.
Si vous comptez sur une électrique pour rouler sans souci, mieux vaut regarder ailleurs.
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Les constructeurs européens n’ont pas dit leur dernier mot !
Certains moteurs sont de véritables champions de l’endurance. Chez Peugeot et Citroën, le 2.0 BlueHDi fait office de référence.
Bien entretenu, il peut avaler les kilomètres sans broncher et dépasser 250 000 km sans gros souci mécanique.
Du côté de Renault, le 1.5 dCi traînait autrefois une réputation mitigée à cause de ses problèmes d’injecteurs.
Mais les dernières générations ont été corrigées et ce bloc diesel reste aujourd’hui l’un des plus répandus en Europe.
Chez Volkswagen, le 2.0 TDI est une valeur sûre, à condition de ne pas négliger l’entretien.
Pour ceux qui préfèrent l’essence, le 1.4 TSI a bien évolué : les soucis des premières versions sont désormais derrière lui, offrant une meilleure fiabilité.
Bref, si vous cherchez un moteur capable de tenir la distance, les Européens ont encore de quoi faire hésiter les amateurs de robustesse.
Mais attention, un bon entretien reste la clé pour éviter les mauvaises surprises !
Les moteurs les moins fiables selon les types de véhicules :
crédit : leocare.eu
Comment choisir « LE BON » moteur ?
Choisir un moteur fiable, ce n’est pas juste une question de réputation ou de classement.
La vraie différence se joue sous le capot, avec un entretien rigoureux.
Un moteur peut être conçu pour durer, mais sans une huile adaptée, des vidanges régulières et un carnet bien tenu, il ne fera pas long feu.
Il vaut mieux miser sur des motorisations qui ont déjà fait leurs preuves, plutôt que de se lancer tête baissée sur les derniers modèles bardés de technologies encore incertaines.
Un petit coup d’œil aux rappels constructeur peut aussi éviter de mauvaises surprises.
Récemment, BMW a rappelé 1,5 million de véhicules pour un souci de freinage, et plusieurs modèles PureTech sont concernés par des réparations.
Côté fiabilité, certains blocs encaissent les années sans broncher, tandis que d’autres enchaînent les galères.
Les moteurs de Lexus, Toyota, Honda, Kia et Hyundai ont la réputation d’être increvables.
En Europe, un 2.0 BlueHDi bien entretenu ou un 1.5 dCi récent restent des valeurs sûres.
À l’inverse, les petits moteurs turbo modernes ont souvent des faiblesses liées à des choix techniques discutables.
En clair, bien choisir son moteur, c’est s’assurer de garder son véhicule sur la route et d’éviter les tracas inutiles.
Avis de la rédaction :
Si tu veux une voiture qui roule sans souci, évite ces moteurs comme la peste.
Le PureTech (Peugeot, Citroën, Opel…) est un cauchemar mécanique : courroie qui se désintègre, surconsommation d’huile, casse moteur… et Stellantis qui traîne des pieds pour assumer.
Le EcoBoost (Ford) chauffe tellement qu’il flingue son joint de culasse en un rien de temps.
Chez Renault, le TCe engloutit de l’huile comme s’il en manquait toujours, et au final, c’est ton moteur qui lâche.
Même Volkswagen a son lot de galères avec le TSI, qui donne des accoups et rend la conduite désagréable.
Si tu veux éviter les emmerdes, regarde ailleurs.
Ces moteurs-là, c’est la garantie d’un passage régulier chez le garagiste… et pas pour prendre un café.
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Vous circulez dans une ZFE que ça soit à Lyon, Paris ou même une ZFE partout en France, votre ancienne voiture est soumise à la norme crit’air.
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